Soulager les piqûres d’orties

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Lorsque le soleil est au rendez-vous, nombreux d’entre nous privilégient les activités en extérieur, proches de la nature comme la randonnée par exemple. Gare cependant aux orties, particulièrement pour les enfants. Toutefois si vous êtes en face d’une piqûre d’ortie, sachez comment réagir.

Savoir reconnaître une piqûre d’ortie

Les piqûres d’ortie, j’en ai beaucoup souffert tout au long de mon enfance. Pour cause, comme mes parents sont de véritables amoureux de la nature, ces derniers nous emmenaient régulièrement camper à chaque fois que la météo l’autorisait. Je me rappelle même du vieux camping-car au bord duquel on sillonnait les routes campagnardes de notre région.

Et c’est lors de nos énièmes randonnées pédestres que j’ai fait ma première expérience très douloureuse de la piqûre d’ortie. Alors que j’ai seulement frôlé les feuilles de la plante, j’ai immédiatement ressenti une forte sensation de démangeaison, accompagnée de brûlures. Et plus je me grattais le bras, plus les irritations et les picotements s’intensifiaient jusqu’à avoir de grosses plaques rouges avec des ampoules sur ma peau.

Comment les soulager ?

Heureusement qu’il existe un très large panel de remèdes de grand-mères pour soigner, mais surtout pour calmer les piqures d’ortie. En effet, la première chose à faire est de soulager les irritations persistantes causées par l’acide formique secrétée par la plante. Pour ce faire, je frotte la partie touchée à l’aide d’un papier essuie-tout ou d’un mouchoir à jeter imbibé de vinaigre blanc d’alcool.

Par ce geste, je désinfecte également la zone en enlevant les poils urticants d’orties qui se collent à la peau. Je laisse agir pendant dix à quinze minutes et je rince à l’eau froide propre et claire. Autrement à défaut de vinaigre blanc, j’y applique quelques feuilles de menthe fraîche ou d’oseille que je malaxe d’abord avec mes doigts pour obtenir leurs jus. Sinon, un gel d’aloe vera fera également l’affaire.

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